Tel un athlète, le policier doit performer. Cependant, contrairement à l’athlète, le policier ne sait jamais quand il aura à le faire. Il ne sait pas non plus qui seront ses opposants ou les victimes et combien ils seront. Il ne connaît pas les lieux. Il n’y a pas d’arbitre ni de limite de temps. Il ne sait pas s’il y aura des armes et quelles seront-elles. Le policier doit être plus endurant et plus rapide que le suspect qu’il tente de rattraper en courant. Il doit être assez fort pour venir en aide à une victime plus lourde que lui.

Exigences particulières

L’admission au programme de Techniques policières (310.A0) comporte deux étapes :

Le Cégep était à peine né qu’il vivait déjà sa première « grève » étudiante. Le jeudi 17 octobre 1968, les étudiants entamaient leur quatrième journée d’étude consécutive. Au dire de La Tribune, les principales revendications portaient sur les prêts et bourses, les débouchés à l’université et sur le marché du travail de même que sur la société québécoise dans son ensemble. D’ailleurs, rappelons-nous que les événements de mai ’68 n’ont pas été sans conséquences au Québec.

Dans le cadre du 40^e anniversaire du Cégep, une chronique portant sur des personnes et événements qui ont marqué l’établissement sera publiée dans le Cégep-Inter. Voici le deuxième texte.

Le Collège d'enseignement général et professionnel de Sherbrooke fut fondé le 15 mai 1968 par décret ministériel. Les membres du premier conseil d’administration se virent confier le mandat non seulement d’assurer l’ouverture du Cégep de Sherbrooke (alors Collège de Sherbrooke), mais également de ceux de Granby et de Thetford-Mines. Pour Sherbrooke, la première rentrée scolaire eut lieu le 4 septembre de la même année. Le campus, situé à l’époque dans l’Ouest de la ville, accueillit alors pas moins de 1300 étudiants. 

Album publié à l'occasion du 20^e anniversaire

Vingt ans dans l'histoire d'une institution, c'est peu et c'est beaucoup

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