Retour sur une Semaine des Sciences humaines des plus enrichissantes!

Publié le 13 Novembre 2017

Pour sa première édition, la Semaine des Sciences humaines a réussi le pari d’offrir une programmation riche et diversifiée qui a fait le bonheur des étudiantes et des étudiants en Sciences humaines tout en apportant un complément à leur formation.

Mission accomplie

Les activités, qui se déroulaient du 6 au 10 novembre 2017, ont toutes reçu un bel accueil et ont connu une grande popularité. Selon Danielle Côté, coordonnatrice du programme Sciences humaines, les objectifs de départ ont été atteints : « Nous avons eu une excellente participation aux activités pédagogiques. Nous voulions innover, briser le cadre traditionnel de la classe et éveiller les étudiantes et les étudiants à autre chose, les inviter à sortir de leur zone de confort. C’est mission accomplie. »

Mme Côté est particulièrement fière de la multidisciplinarité qui était au cœur des activités de la semaine : « On a pu aborder plusieurs phénomènes à travers l’angle de différentes disciplines, que ce soit la politique, la géographie, l’histoire ou l’anthropologie. Le caractère multidisciplinaire a été un élément majeur de la réussite de la semaine. Les étudiantes et les étudiants ont pu en retirer une meilleure capacité d’analyse et de nouveaux apprentissages ».

L’événement a commencé sur une belle note le lundi 6 novembre avec un lancement rassembleur suivi de la conférence de M. Tran Van Cong qui fut fort appréciée. Films, documentaires, ateliers, conférences, kiosques des universités, débats… il y en avait pour tous les goûts.

Des commentaires élogieux

Aux dires de plusieurs étudiantes et étudiants, la Semaine des Sciences humaines a donné un sens à leur formation.

Olivier Godbout a souligné la pertinence de deux activités qui ont été significatives pour lui : « La conférence de M. Cong m’a ouvert les yeux sur la diversité culturelle. Et l’atelier L’après 3e Guerre mondiale : vers une nouvelle gouvernance internationale était aussi très intéressant. Nous étions quatre équipes qui représentaient quatre pays avec des idéologies et des religions différentes. Nous devions débattre de notre façon de voir les choses pour l’avenir. C’était un atelier très participatif qui m’a beaucoup plu ». 

 « L’événement a dépassé mes attentes et m’a permis de faire des liens avec le monde extérieur. J’ai beaucoup appris. Lors des films, les enseignants faisaient une présentation avant et une rétroaction après, c’était bien organisé », a affirmé Charles-Olivier Daoust.

« J’ai participé à la conférence Le plafond de verre, Femme et Pouvoir, et j’ai adoré! C’était captivant. Dans l’ensemble, je trouve que c’était une belle première édition. Les sujets étaient bien choisis et directement en lien avec notre champ d’études », a mentionné pour sa part Esther Gosselin-Couture.

Audrey Côté a particulièrement aimé les différents thèmes abordés tout au long de la semaine : « Les ateliers faisaient référence à plusieurs sujets traités dans nos cours. J’en suis ressortie avec un plus grand attachement pour mon programme. »

Une suite?

La première Semaine des Sciences humaines a connu un beau succès et fut le fruit d’une grande démarche collaborative de la part des enseignantes et des enseignants. Ces derniers ont d’ailleurs la volonté de reconduire l’événement l’an prochain, en apportant quelques améliorations.

Quelques-uns des membres du comité organisateur : Danielle Côté, coordonnatrice du programme Sciences humaines, Keith Éthier-Delorme, directeur de l’enseignement et des programmes secteur Musique, sciences et techniques humaines, et Antonin-Xavier Fournier, enseignant en Anthropologie et science politique.

Un aperçu d’un des ateliers au programme de la semaine

Daphnée Mercure, Florence Trépanier, Esther Gosselin-Couture et Érika Jones.

Charles-Olivier Daoust, Audrey Côté et Nattacha Niyukuri.

Olivier Godbout

Voir l’album photos Facebook de la Semaine des Sciences humaines

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